La fin de vie du CCMI
La fin du contrat soulève plusieurs hypothèses. Le professionnel a remis les clés et le client a validé les travaux. Les deux partis sont ainsi libérés de toute contrainte. Elle peut également signifier l’intervention d’un autre professionnel pour assister ou remplacer le maître d’œuvre. Une autre hypothèse suggère la livraison des clés, mais l’acquéreur impose quelques rectifications. Le professionnel se libère une fois les corrections réalisées.
Les deux partis sont en droit de rompre le contrat à tout moment, à condition de justifier d’une raison valable. Une rupture peut faire suite à un refus de prêt immobilier, un échec à l’obtention d’un permis de construire ou à l’absence d’une assurance dommage-ouvrage.